La secrétaire d’État chargée des victimes en déplacement à Nice

Mis à jour le 18/01/2017

Jeudi 12 janvier 2017, en déplacement officiel à Nice , Juliette Méadel, secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée de l’aide aux victimes, accompagné du préfet des Alpes-Maritimes, Georges-François Leclerc, a inauguré le nouvel espace d’information et d’accompagnement (EIA) des victimes nouvellement installé dans le quartier de l’Arénas.

Elle y a été accueillie par Véronique Bracco, directrice générale de l’association Montjoye et les autorités judiciaires. L’EIA a vocation à mettre à disposition de toutes les associations de victimes, de façon permanente ou plus ponctuellement, un espace de travail ou d’accueil. Puis une convention a été signée entre l’État, l’association Montjoye et l’association française des victimes du terrorisme (AFVT), en présence des autorités judiciaires, de Catherine Chavepeyre, conseiller municipal subdélégué à la prévention de la délinquance et à l’aide aux victimes, conseiller métropolitain Nice Côte d’Azur, représentant le président de la métropole Nice Côte d’Azur, président de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, et représentant également le maire de Nice, Franck Martin, conseiller départemental, représentant le président du conseil départemental.

Après un déjeuner de travail avec le maire de Nice, Philippe Pradal, la ministre s’est rendue à l’hôpital Lenval. Accueillie par son directeur général, Arnaud Pouillart elle a rencontré et échangé avec les agents hospitaliers qui sont intervenus lors de l’attentat du 14 juillet et salué, à cette occasion, leur engagement et leur dévouement le soir du drame.

C’est à la préfecture des Alpes-Maritimes, que Juliette Méadel a clôturé son déplacement en présidant le 5ème comité local de suivi des victimes. L’ordre du jour portait sur trois points principaux : - le bilan depuis le 14 juillet 2016 de l’activité de l’espace d’information et d’accompagnement des victimes ainsi que des partenaires de l’espace d’information ; - la prise en charge hospitalière et l’accompagnement psychologique des victimes ; - un temps d’échange avec les participants.